Harlan Coben

Publié le par MARY DOLLINGER

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Cher Harlan Coben,

 

Il n’est jamais facile de s’excuser, mais parfois il faut savoir s’autoflageller. Je le fais humblement et avec délectation, tellement j’ai honte. Je n’ai jamais été très forte en orthographe, mais ce n’est sûrement pas parce que vous êtes publié chez Belfond noir, que j’avais le droit de vous prénommer « Harlem ». J’ai rectifié le commentaire (Géraldine, tu as dû être horrifiée,) et espère que vous serez indulgent vis à vis d’une lectrice que vous avez totalement conquise.

 

Sincerely yours

 

Mary.

 

P.S. Comme si une bévue ne suffisait pas, j’ai également abîmé votre nom de famille. Comme pénitence, je m’impose la lecture de deux Marc Levy.

Au  choix.

Je vais souffrir.

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