Deuxième billet de la chèvre : suite et surtout fin.
Empreint de la magie enchanteresse de ce lieu envoûtant, l’enchantement subtil des livres se mélange harmonieusement avec l’esprit créatif de leurs auteurs saisis subitement d’une tendresse débordante pour leur progéniture. Parmi eux, avec grâce et distinction, Jacques André se promène, tel un sage, distillant aux uns et aux autres paroles d’encouragement et de félicitations. Sa silhouette frêle au profil d’aigle se faufile entre les écrivains muets devant l’aura dégagée par cet homme si bon. Subitement il s’arrête, son regard soudain capté par une image insolite : « Diantre, » s’éxclame-t-il de sa voix mélodieuse, « Que vois-je apparaître devant mes yeux ébahis ? Serait-ce enfin cette chose étrange que tant d’hommes ont cherché depuis tant et tant d’années ? Je crois bien que… »
SPLATZ ! BING ! SLOTCH ! WHAM !
Je ne suis pas arrivée à temps, ma déconfiture est sans bornes ainsi que les excuses que j’offre platement à la blogosphère dans sa totalité.
À demain pour des billets normaux.
Ce soir, l’heure est au règlement de comptes.