Bons baisers de Paris (3)
Si Mandor m’était conté.
Lorsque vous rencontrez un ami « virtuel » pour la première fois en chair et en os, l’émotion est toujours au rendez-vous. Lorsque cet ami virtuel est une pointure du web dont vous admirez le travail, l’émotion est teintée d’une légère angoisse. Lorsque vous découvrez que cet ami est la personnification même de son blog,http://unpieddansleshowbiz.hautetfort.com c’est à dire, enthousiaste, débordant d’idées, d’humour, le tout délicatement emballé dans une gentillesse à toute épreuve et une modestie en béton armé, c’est le bonheur. Car nous avons déjeuné avec Mandor.
Et c’était juste cela. Une conversation qui s’étalait doucement, pas de questions, pas de réponses, juste un échange, un partage.
Une petite précision, François, bien que je ne sois pas un écrivain prolifique, j’écris en moyenne 12 pages par an et non pas 12 lignes ! ! L’erreur ne vient pas de toi/vous, mais de moi dans le podcast d’ephermerveille. Tu as bien fait de ne pas m’interviewer car dans ce cas-là, j’ai tendance à dire un peu n’importe quoi.
Pour terminer, je regrette de ne pas savoir plus sur notre voisin de table qui a apparemment suivi notre conversation de très près,(c'est vrai qu''on lui a prêté le sel, cela crée des liens,) et qui, en partant, nous a demandé l’adresse de nos blogs, tout en précisant, qu’en tant que fonctionnaire, il aurait bien le temps de nous lire… Si jamais cet homme charmant lit ces lignes, qu’il sache que son exercice d’autodérision a été très apprécié.
So thank you François, and I hope see you again very soon.